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God save the gouines.

Blog opératoire : la badasse s'en va-t'en guerre.

Page principale - Brouillons

Transgresser les frontières :

--> vers une herméneutique transformative de la gravitation quantique

Bon, comme j'ai le ventre plein et que ça sent la sauce de poisson chez moi, aujourd'hui je vais vous pondre un post spécial banalités.
Il faut dire aussi que j'ai la flemme de rédiger ce texte féministe à base de termes comprenant la syllabe "con" dont j'ai rêvé cette nuit dans mes songes pétés au gros rouge qui tache. La flemme, quoi.

Donc, comment je commencerais... "dans notre belle ville de B., le temps suit son cours. Il fait assez frais mais dans l'ensemble la neige nous laisse tranquille." Ce qui me permettrait de mentionner que "je suis contente d'échapper aux bouchons en sortant du boulot" si j'avais une bagnole et si j'avais un taf. J'enchaînerais ensuite sur les "nouvelles" (quoi d'neuf, docteur ?) de la famille en commençant par les parents, puis les grands-parents (du moins ceux qui restent), puis la frangine, et enfin je terminerais par "oh mais tu sais, tant qu'on a la santé", ou "à toute chose malheur est bon". Je pourrais aussi évoquer mon voisin, que je n'entends plus jouer du didgeridoo depuis qu'il semble avoir déménagé, Dieu merci. Nous pourrions également causer sujets d'actualité : si l'exil de Depardieu en Russie se fait quelque peu désuet, il est toujours possible de se questionner sur le contenu des lasagnes Lidl servies tous les vendredis au petit dernier depuis qu'il est en âge de bouffer des pâtes. On pourrait aussi se foutre de la gueule du dernier Guillaume Musso avec cette blague ô combien hilarante (mais quand-même vachement périssable) disant que Demain est sorti aujourd'hui, huhuhu. Je ne sais pas trop de quel film de merde primé par Télérama on pourrait disserter interminablement (en n'oubliant surtout pas d'en dire qu'il s'agit d'une formidââââble métaphore ou d'une peinture d'une terrible justesse de notre société contemporaine / du fanatisme islamiste / de la crise écologique, prière de rayer les mentions inutiles ou dont on a vraiment trop marre), même si pour ma part j'aurais bien envie de vous parler de Wadjda. Je vais toutefois m'abstenir, je suis au moins aussi bonne critique que cuisinière. Sauf quand c'est pour descendre un truc, là évidemment, ça va.

Je pourrais vous raconter ma soirée d'hier tiens. Comment je me suis pris la tête avec un de mes (très) rares amis autour de cette question superbement casse-burnes : entre le génome et la construction sociale, caissequeçay qui régit le plus les comportements humains ? Je retourne le sablier, vous avez dix minutes pour vous étriper (bourrez-vous la tronche au cubi Villageoise avant, ça aide).

Sinon, demain j'enterre tranquillement mon quart de siècle. J'aurai 26 balais, et -presque- tel Machin, toujours pas d'meuf, pas d'taf, pas d'bouffe. Cela dit, y a à boire dans le bac à légumes.
VENGEANNNNNNNNCE !

Là on est bien dans la banalité, quand-même. Je pourrais vous parler de mes concours aussi. Comment j'ai réappris à poser une division et comment ça m'a fait bien plus plaisir que de réviser mes notes sur l'économie mondialisée. Remarque, connaître son ennemi, il paraît que c'est l'enfance de l'art. Mais à la longue, ça gave un peu quand-même. Je devrais devenir militante FN, ça m'occuperait.

Amatrice de mauvais goût, je parviens à ferrer et fréquenter des gens qui ne le sont pas moins. C'est pourquoi je peux vous proposer d'admirer en exclusivité le tableau composé par une autres de mes (très) rares amis à l'occasion de mon jour de vieillissement annuel. C'est par là, ça s'appelle "Couille", et je sais que ça intéressera au moins une ou deux personnes ici (même si ça paraît dingue). A l'heure actuelle, je me creuse encore la tête pour savoir quel sens donner à cette œuvre dont la symbolique est d'une telle richesse que j'en suis époustouflée autant qu'ébaubie.

Bref, on se sert le coudes, on rigole et on banquette, toujours avec cet amour du prochain qui caractérise Notre Majesté Moi-Même.

Sinon, au détour de mes prospections et découvertes dans le domaine de la japanimation, je suis (encore) tombée sur un truc absolument démentiel qui m'a tuée en à peine 12 épisodes. Assez bizarrement (et j'en ai eu honte, si !) il s'agit d'une série rattachée au genre dit "magical girls", style Sailor Moon et compagnie, centré sur de très jeunes filles qui récupèrent des pouvoirs magiques pour aller à chaque épisode liquider un ou deux streums bien vilains. Autres ingrédients essentiels : la petite danse de transformation quand la ou les héroïne-s laissent derrière elles leurs uniformes d'écolières pour se transformer en magical girls, des putains de tenues au design exubérant qu'on renouvelle éventuellement à chaque épisode (cf. Card Captor Sakura), et surtout, surtout, très important, zéro mort et une fin heureuse.
Or, dans Mahou Shoujo Madoka Magica, cette série qui est parvenue à me terrasser, gros sanglots et pleurs à flots roulée en boule sous la couette en attendant que ça passe, ça crève à la chaîne, tout le monde y passe. Et avant de crever, ça en chie, mais grave, pour tout et tout le monde, et il n'y a pas un seul épisode après le premier (et encore) qui n'ait sa dose de noirceur à t'envoyer en pleine face. Ça, cumulé au fait que le character design des gamines leur donne, pour certaines, genre dix ans, et c'est l'hallucination assurée.
(L'animation et la réalisation sont sublimes, ce qui ne gâche rien.)

Et surtout, qu'ai-je eu l'extrême plaisir de trouver dans cet anime dès l'intro ? Des DAMIERS ! Et je surkiffe les damiers, je vendrais ma mère pour plus de damiers dans les animes comme dans la vie, les damiers devraient diriger le monde.
Illustration :
-en reprenant un exemple évoqué dans un autre post, Black Rock Shooter : voir l'intro, par exemple, ou les passages de 20:16 à 20:45 et à partir de 37:35. Toute cette architecture avec des damiers partout, ça claque, c'est beau, c'est magnifique.
-par rapport à la série qui nous intéresse, l'intro, tout simplement. Sympa, l'ambiance.
Bon, avec ceci (qu'est c'que j'vous sers), on peut rajouter une BO d'enfer composée par une pointure (c'est pas si souvent), un scénario qui tient la route et qui ménage tellement de trucs pas cools qu'on ne s'emmerde pas une seule seconde, et des personnages attachants de chez attachants (et parfois qui tournent mal, c'est dire).
Bon, je VEUX une figurine grandeur nature d'Akemi Homura dans les plus brefs délais.
*bave*

Les bons animes c'est comme les bons bouquins, à la longue ça va devenir difficile de se plonger dans de la merde.

Et allez, une petite connerie pour la route. On reste plus ou moins dans le sujet et on gagne en prime une preuve supplémentaire que la japanimation, c'est cool. La Katyusha quoi !

Ecrit par kaleria, le Jeudi 28 Février 2013, 21:31 dans la rubrique "# Niouzes".

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