Toutes celles qui portent la frange à la Kate Moss.
Bon, voilà, j'ai eu une illumination. Une grand vision d'avenir, la révélation de l'essence la plus secrète de la vie, du pourquoi de le comment, de la marche du cosmos et du détartrage des théières à l'ancienne sans pelle à tarte.
Un tout total (merci pour lui).
PROSTERNATIONNEZ VOUS, LOMBRICS ET AUTRES GASTEROPODES.
C'est par là.
(Oui, il faut que je sorte le dimanche, c'est un fait.)
Dès la première fois, ce furent d'énormes barres, et encore maintenant, après la vingtième vision de la journée, rien n'a changé. Sauf qu'évidemment, j'ai appris les paroles par coeur. Elle se retiennent bien, hein ? Impressionnant.
Je n'ai d'ailleurs aucun mal à l'imaginer braillée en extérieur par une bande de glands avinés, franchissant du même coup (avec un succès éclatant) la délicate barrière de la représentation live. Vraiment, bien pensée jusqu'au bout cette chanson. Que des qualités.
A ce propos, très chantant l'accent anglo-schleu. Il fallait en avoir l'idée, belle performance.
Et, et, psssst, vous avez vu, y a un des mec de Daft Punk vers la cinquantième seconde. Bon, on ne sait pas lequel, mais ça...
Et puis c'est vrai quoi merde, ça m'énerve. Point.
La chose ne pouvait évidemment pas ne pas me faire penser à un autre machin, que j'ai déjà peut-être cité ici sans m'en souvenir précisément.
Il y aura peut-être de la redite.
Gardez confiance.
Gnnnnnnnn ding, ceci, du très très lourd ça encore.
(En fait oui, c'est carrément le même son, et pour cause, Laurent Konrad est derrière tout ça. Pas étonnant : dans le genre bombinetteàboîtes, il a toujours fait fort. Sauf que là, en plus, c'est drôle, et qu'il copine -Alléluïa- avec autre chose que Benassi l'manchot.
Ca fait bien gay aussi comme son, sans vouloir entrer dans le cliché malheureux. Juste du domaine de la pure vérité.
Bref, tout ça pour dire que la musicalité de mon oreille n'a pas fini de m'émerveiller.)
Tant qu'on est dans le son facile, léger, ensoleillé tout ça, une petite dernière pour la route. Ca vous transcende les générations un chef d'oeuvre pareil.
Le style académique ronge mes ongles à ma place, ça m'encombre, mais tant qu'il ne va pas jusqu'au congel me bouffer mes glaces, c'est encore pas trop grave.
Les jours passent, les délais restent : "On ne devait pas bosser sur les dossiers en retard ?"... Ben, comme tu dis, on bossera sur les dossiers, en retard.
Tous les jours, le téléphone sonne : c'est un numéro inconnu, qui attend patiemment l'enclenchement du répondeur mais ne laisse jamais le moindre message, ce qui est complètement con à moins d'être un(e) gros(se) fan de la rhétorique de Quinn au sujet du maquillage dans Daria. Le bon goût se faisant rare, à mon avis la chose l'est tout autant. Donc MERDE, cette forme de harcèlement moral quotidien, je n'en peux plus, si ça continue faudra qu'ça cesse... car il ne faut pas te leurrer hein, qui que tu sois, enfoiré anonyme, jamais je ne décrocherai, tu ne peux être qu'une mauvaise nouvelle, une version téléphonique de la cassette de Ring, un truc dans le genre, et donc jamais, au grand JAMAIS TU ENTENDS ?
Bref, qu'est c'que ça m'énerve.
Ecrit par kaleria, le Vendredi 8 Mai 2009, 05:48 dans la rubrique "# Niouzes".