The inevitable return of the great white DOPE.
Bah voilà, c'est à peu près ça : l'inévitable retour du coup de pompe dans le cul au pays de Candy (où y a les méchants et les gentils, comme dans la vraie vie).
J'aurais voulu me lancer dans un grand et beau tribute to, avec un renouvellement de la radio blog à destination du particulier et spéciales dédicaces à ces personnages hauts en couleur qui s'ignorent peut-être mais qui existent quand-même à travers les méandres de la bouillie compacte de mon être (atchoum). J'y aurais balancé Justine, Elisa, Ernestine, Emma, Félicie et Annie dans un grand déchaînement de fureur lesbienne, j'y aurais chialé sur les Cranberries, et j'aurais pas osé y caser Courtney... mais la vie est ainsi faite : les problèmes existenciels et sélectifs (ce qui revient à peu près au même) sont souvent résolus par l'aspect mécanique du monde, et j'ai toujours pas internet chez moi après deux mois de bataille intense (comment ça lui casse les burnes, à Candy, vous pouvez même pas imaginer).
Le proverbe du jour (explication de texte pour dans 5 minutes dernier délais) : faut pas mélanger les torchons et les serviettes.
La situation à la con du mois : je t'ai donné mon or, et pour le moment t'en a fait que dalle ("un musicien voit quand deux êtres s'interpénètrent")... et c'est bien dommage, mais j'attend, je suis patiente, et tenace en plus, mes intuitions rouges, elles ne sont pas noires.
La constante qui énerve : carrément méchant, jamais content.
Et alors après, il y en a qui vont se (et me, malheureusement) poser des questions, qui vont aussi poser des problèmes, ce qui me porte à poser comme point final et accompli cette... chose... comme ça et pas autrement, comme quoi : renonce à comprendre, mais acharne toi à le faire (et n'oublie jamais qu'un oeil neuf est préférable à celui d'un vieillard qui croît connaître la vie).
A part ça, j'aime la galette (savez vous comment ?)... quand elle est bien faite (avec du beurre dedans).
Je m'baladais sur l'avenue [un peu n'importe où] le coeur ouvert à l'inconnu [à une bonne partie de jambes en l'air -j'adore-], j'avais envie de dire bonjour [viens j't'attend] à n'importe qui [le premier passant qui passerait]...
N'importe qui, et ce fut toi, et je t'ai dit n'importe quoi [le maximum de choses, avec sincérité], il suffisait de te parler pour t'apprivoiser [mais je crois que j'ai manqué de temps].
C'est pas bien grave, comme dirait l'autre, "a new day as come"... et moi, "I had a dream".
Misère et Miséricorde.
Ecrit par kaleria, le Mardi 24 Octobre 2006, 14:56 dans la rubrique "# Niouzes".