Requiem pour... un paquet d'choses.
Bon voilà, c'est bientôt la rentrée : lundi, youpi tralala, j'attaquerai mon tout dernier semestre de "vrais" cours à la fock. Après ça, fini, au revoir, à pus, que dalle, nada, et surtout sic. Requiem pour ce qui risque sans doute de rester la meilleure planque de ma vie.
En attendant, ma douce étant bel et bien absente, j'ai foutu le nez dans un paquet d'assortiment de gâtals de chez Delacre. Sachant que je suis quelqu'un d'extrême sur pas mal de choses (genre "tout ou rien") et notamment, surtout, voire avant tout à propos du bouffage de sucreries, cette affaire va sans doute se solder par un rectifiage en règle dudit paquet. Mon pèse-personne et mes soutiens-gorge vont être ravis.
Requiem définitif aussi pour la chanson française ainsi que pour le bon goût musical, et du même coup pour l'intégralité des avancées féministes de ces quarante dernières années, avec cette horreur. A l'occasion, je développerai à ce sujet, il y a matière.
Parce qu'aujourd'hui, en fait, j'voulais vous parler d'un truc pas cool du tout, à tendance bien définitive aussi, qui m'a quelque peu retourné le cerveau. Je ne sais pas si vous vous souvenez de ma fameuse "anonyme vouée à le rester" d'il y a quelques posts... quoiqu'il en soit, moi, je m'en souviens parfaitement, et je ne risque pas de faire autre chose à son propos, puisque la miss, depuis quelques jours, n'est plus. Tout simplement, expéditif, brut de décoffrage.
D'une personne tout à fait vivante, râlante et souvent dans la troisième dimension, il ne me reste qu'une cicatrace à la base de l'index de la main droite, souvenir d'une soirée où on était tellement défoncées qu'on en lâchait nos clopes allumées... sur nous-mêmes. Quelques chansons de Goldman aussi, et la découverte de Cat Power, la glace à la banane et mon premier barbec' à Chaudanne, la réconciliation éphémère avec cette substance qui, directement ou indirectement, finit parfois par terrasser les gens. L'expression "langue de pute", l'art et la manière de faire le ménage rapidement, le rappel de trucs très évidents mais qu'on oublie à force... comme quoi les filles c'est doux, par exemple. Des machins pas glops aussi, comme l'impression d'avoir été prise pour une conne, sauf que c'est pas maintenant que je vais vérifier ça, c'est trop tard.
Globalement, un sentiment de "putain, c'est trop con". Une chose qui ne s'oublie pas, apparemment.
Désolée, j'y tenais.
Et je ne sais pas comment conclure. Abruptement tiens, je crois que ça se passe comme ça au pays de Candy.
Ecrit par kaleria, le Vendredi 10 Septembre 2010, 20:02 dans la rubrique "# Niouzes".
Commentaires
tornade
11-09-10 à 00:55
Brou
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tornade
11-09-10 à 00:59
J'avais pensé à toi, en partant je suis passée devant un bled :
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kaleria
12-09-10 à 05:32
Ben putain, ça ne nous rajeuni pas tout ça...
"Sauf si ces enculés nous filent du blé !"
Entre temps, j'ai tenté de désapprendre à être niaise avec les femelles (bon, j'reste fessuelle, mais ça...). Mais j'y arrive pas. Je lâche l'affaire tu crois ?
C'est clur ?
"Je n'suis pas une guitare, je suis un être humain !"
Hiiiiiii j'craque.
Mais pan pan cul cul oui !
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