L'enfer, c'est les autres.
--> Qu'il disait l'autre...
Genre de morceaux choisis m'inspirant en temps ordinaires quelque chose du goût d'un "muhahaha" balourd et prolongé sans vergogne.
Il n'empêche que... il semblerait que ça soit reparti pour un tour de montagnes russes au pays du n'importe quoi ascendant connerie : avec la Tornade, on ne peut plus échanger trois mots sans nous engeuler. Ce qui tient certainement aux faits qu'il m'est déjà difficile d'aligner deux mots (alors trois, imaginez)... qu'il lui est quasiment impossible de ne pas s'engeuler (avec moi, le chat, ma grand-mère et évidemment avec elle-même, alors imaginez)... qu'on s'est déjà dit tellement de trucs et de machins qu'il faudrait fournir un effort de création (un "effort", non mais imaginez) tout en restant cohérentes ("cohérence", mais IMAGINEZ)... reste néanmoins cette étrange certitude que j'ferais "bien des choses" (y compris de la muscu ou une séance de lèche-vitrine) pour sa sale face de première communiante, sous réserve de préservation de ma santé mentale.
Et c'est là (pile ici, voyez-vous... un peu plus à gauche... voilà, vous y êtes) que le bât blesse. Et ça ne regarde que moi, comme dirait toujours l'autre, mais pas le même.
"T'as qu'à ou t'as qu'à pas".
J'ai qu'à : lire un peu plus, gribouiller en masse, fermer mes oreilles périodiquement et n'ouvrir la bouche que quand on me pose une question.
J'ai qu'à pas : poser le moindre orteil en territoire marécageux, pratiquer cette passionante activité consistant à jetter gaiement toute l'huile dont on dispose sur le moindre petit feu qui passe, toucher aux bibelots ou à l'ordinateur (fragiles sous mes affreux doigts malhabiles) et émettre des sons à visées communicatives aux mauvais moments (ce qui me laisse encore la possibilité de parler en dormant, c'est ce pas merveilleux ?).
Blague à part...
Nous sommes en Octobre, et la vie (notamment Noël qui approche à grands pas) nous réserve encore une foultitude de surprises : à venir sous peu, entre autres, cette délicate fraîcheur atmosphérique synonyme pour Lamarmotte d'une baisse significative du nombre d'heures de fréquentation UFR-ienne/semaine au carré, le sapin, les guirlandes et toutes ces conneries de voeux pour les fêtes à ne surtout pas oublier en guise de renouvellement annuel des trêves diplomatiques type "tu m'files des thunes et j'suis une gentille fille", le foie gras (enfin une bonne nouvelle) et l'achat d'une cithare mal accordée en vue d'aller chanter d'ignobles sérénades aux jeunes filles du voisinage planquées sur leurs putains de balcons (la combinaison cuir et la bécane perdant bizarrement de leur popularité au cours de l'ère glaciaire).
Ceci dit, tout celà est encore bien loinatain, et pour ce qui est du moment présent, la maison vous propose le jeu de l'automne 2007.
J'offre donc un camember pur jus affiné de longs mois durant au plus profond de la noire et humide obscurité de mon frigo le plus pourris aux dix premiers chanceux répondant à cette difficile question : qui a chanté "Poupée de cire, poupée de son" aux alentours des années post-révolutionnaires ?
a) Jean-Pierre Foucaud.
b) Charles de Gaulle.
c) Jeanne d'Arc.
d) Honoré de Balzac.
Et pour finir sur une touche franchement amusante : KIKOOLOL !
Ecrit par kaleria, le Jeudi 4 Octobre 2007, 23:46 dans la rubrique "# Niouzes".
Commentaires
re re re re de re
Anonyme
24-10-07 à 17:40
fil moi ton num stp ke je puisse tappeler ce soir
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Re: re re re re de re
Anonyme
24-10-07 à 20:10
aller va i balence
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Prudence...
kaleria
25-10-07 à 10:51
Etant mère de sûreté : une adresse mail.
Livrer aux regards avides de la populace mon petit numéro de téléphone personnel serait suicidaire, d'autant plus que bien souvent, les mecs qui atterrissent ici ont tapé des trucs du genre "gouine gode" ou "gouines en chaleur" sur gogol...
C'est pas que je ne les aime pas, mais j'ai moyennement envie qu'on m'appelle à des heures pas possibles pour se marrer entre potes ou avoir le plaisir d'un "suce ma bite salope" au décrochage du téléphone (je ne suis pas une biatch à skyblog, non mais).
See ya mon grand...
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One ancienne connaissance
Anonyme
26-12-07 à 18:52
bien dis miss
Juste un petit coucou, pour dire que je suis toujours vivante.
Passe de bonne fete, comme je supose que t'es chez ta famillia
A bientot
Ma petite lena ;)
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