But I'm a cheerleader.
--> pas moi, mais bon...
Au début, j'avoue, j'ai cru à un bon gros navet bien ultime... déjà, ce titre, my God.
Et puis en fait, nan. Suffit d'un minimum de second degrès pour saisir toutes les nuances machiavéliquement orientées des dialogues faussement innocents, les petites insinuations implicites, les gros clichés qui tachent. Pour comprendre que sous la tête dans le cul de l'héroïne et celle de cochon de sa moitié se cache toute la puissance de la gouine refoulée face au puritanisme (et à deux c'est pas si pire). Les sous-titres étaient à chier, pondus par "quelqu'un qu'avait rien à faire" (texto), mais c'était bien sympa quand même.
Qui ose bouder son plaisir ? Clea Duval dans The Grudge,
j'en pleure encore après ça...
Ecrit par kaleria, le Lundi 23 Mai 2005, 16:38 dans la rubrique "# Niouzes".