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God save the gouines.

Blog opératoire : la badasse s'en va-t'en guerre.

Page principale - Brouillons

Horrorscope et ahahah.

--> "Moi j'te dis lol !"

Si, j'ai plein de cours à retaper, non, je n'ai pas envie de le faire (mais alors pas du tout), alors oui, je passe mon temps à tester des merdes à droite à gauche sur le net, c'est mon droit (c'est pas ça qui me filera la mention, je sais, mais t'inquiètes ma poule, on f'ra ce qu'il faut, ohohoh).
Et donc, me voilà à faire des tests astromachinchose à partir de mon simple prénom (C. comme chacun sait <== joli tiens), histoire de savoir une bonne fois pour toute qui je suis, bordel !
Ca donne ça (entre parenthèses, comme présentement, c'est l'avis du cobaye) :

-Personnalité de C. :
"Elle a de la classe." Voilà probablement la remarque que ferait tout le monde à propos de C. (ou pas). Ses traits sont fins et réguliers, dénotant une certaine noblesse. Elle a le corps mince et souple dont le contour ne s'estompe guère avec l'âge (on verra, j'espère), les mains fines et fuselées (j'avoue), les jambes longues et bien plantées (plantées dans quoi ?). Sa démarche aisée est pleine de grâce (de ?). Mais ce sont surtout ses yeux qui lui donnent son grand pouvoir de séduction. Le charme de son regard un peu naïf et rêveur est irrésistible. Elle s'habille avec beaucoup de (mauvais) goût, et son apparence est toujours très (peu) soignée.
Grâce à son solide sens de l'esthétique, C. peut facilement réussir comme modéliste, décoratrice, dessinatrice ou couturière (oui ben oui, vazi donne-moi un crayon qu'on rigole). Son tact (hmhm) et sa classe lui permettent aussi de bien faire en relations publiques (HMHM). Étant à la fois discrète (mais bien sûr) et parfaitement à l'aise en société (bourrée, c'est très vrai), elle apparaît comme la femme idéale que les hommes politiques aimeraient épouser pour l'avoir à leurs côtés lorsqu'ils se montrent en public (je suis la nouvelle Carla Bruni, youpi tralala).
Bien que très féminine (gnu ?), la native ne possède pas d'instinct maternel "normal". Ses enfants ne l'intéressent que modérément (voire pas du tout) ; ce n'est jamais une poule couveuse. Et pourtant, dans certaines circonstances exceptionnelles, on peut la voir plus maternelle que la plupart des autres femmes (elle dit qu'elle demande à voir). Il serait bien malaisé d'expliquer rationnellement ce comportement paradoxal. Mais il arrive parfois qu'une chatte élève soigneusement de petites souris (heu, allô ?).
Le "pédantisme" revêt un caractère parfois irritant chez C. Dans ses conversations, longues ou brèves, légères ou sérieuses, intimes ou mondaines, elle résiste mal à l'envie d'aborder de grands sujets dont elle ne saisit que quelques bribes (et pour cause, j'ai toujours raison, il serait dommage que le monde entier n'en profite pas). Elle aime parler de l'écologie, des derniers sondages, des effets de la pilule, des bases biologiques de l'égalité des femmes avec les hommes, etc (non). Elle ferait mieux de se montrer plus modeste, même si elle possédait à fond ces sujets, car personne n'aime être ébloui et surtout ébloui par une femme (ah ouais merde, je n'y avais pas pensé... retourne vite à tes fourneaux sale femelle, et laisse les hommes refaire le monde au bar PMU du coin, ils savent, eux !).
Les militantes féministes seraient bien avisées de ne pas essayer de gagner C. à leur cause (trop tard, je suis déjà idéologiquement foutue). Elle ne s'intéresse nullement à la libération de la femme (en effet, je me trouve bien derrière mon fournal) bien qu'elle ne soit pas hostile au M.L.F. Tout ce qu'elle recherche dans la vie est une existence tranquille et confortable (non), même si cela exige qu'elle se mette à l'ombre d'un homme (ben, non). Dès qu'elle a atteint un certain stade de sécurité et de confort, le monde pourrait aller à l'envers sans qu'elle s'en formalise (non, vraiment).
La mélancolie que dégage C. constitue l'élément majeur de sa panoplie de séductrice (j'ignorais que j'avais une panoplie). On a toujours l'impression qu'elle est sur le point de pleurer ou qu'un triste événement vient de la frapper (toujours pas). Inconsolable en apparence, elle charme autant que la femme que chantait Sully Prudhomme :
  C'est en deuil surtout que je l'aime.
  Le noir sied bien à son front poli.
  Et par ce front le chagrin même
  Est embelli.
(Super, j'ai de l'avenir en Carla version pleureuse, je suis trop trop, mais alors trop contente sisi.)

-Prénom et couleur des yeux (oui parce que visiblement ça change quelque chose. Les miens sont bleus, ce qui ne semble pas très bon signe en ce qui concerne les C. astrotraitées) :
C. aux yeux bleus peut connaître le succès dans tous les domaines (en effet). Mais c'est souvent un être pathétique (j'en doute) parce qu'elle se croit l'enfant mal aimée de la nature (non). Elle ne sera jamais heureuse, à coup sûr, à moins qu'elle n'arrive à se défaire de cette idée fixe sans aucun fondement.
Nous avons affaire à un personnage rongé par l'amertume (non vous dis-je). Plus elle vieillit, plus son amertume devient envahissante. Son entourage ne cesse de l'entendre soupirer et dire : "Je n'ai jamais de chance dans la vie" ou "Toutes les portes me sont fermées" (mais non bordel !).
Qu'on croie ou non ce qu'elle dit, il n'y a absolument pas lieu de mettre en doute la sincérité de C. aux yeux bleus. Sa conviction est profonde, et elle ne manque pas d'exemples pour montrer à ses interlocuteurs sceptiques que le destin s'acharne vraiment contre elle. Son drame réside précisément dans son incapacité de prouver à elle-même qu'elle n'est pas la bête noire de la vie. "Je ne demande qu'à voir que je me trompe" (sûrement pas, j'ai horreur de me tromper), répète-t-elle inlassablement à elle-même et aux autres. C'est ainsi qu'elle continue à être persuadée que la vie est injuste envers elle (toujours pas), que la chance n'arrive qu'aux autres et que le malheur la choisit comme sa proie préférée. Et ce n'est pas tout. Elle se croit sérieusement aussi être une cause de malheur pour les autres, tout comme si elle était porteuse d'une maladie contagieuse.
Se croyant inextricablement prise dans les serres du destin implacable, C. aux yeux bleus finit généralement par s'accommoder de son sort : elle se complaît dans son malheur — vrai ou faux — et tire sa consolation de la conviction qu'elle est inconsolable (je m'auto-bourre de coups de pieds au cul plutôt, ça stimule). Il s'agit ici bien du cas assez connu dont parlait La Rochefoucauld : "On se console souvent d'être malheureux par un certain plaisir qu'on trouve à le paraître." C. aux yeux bleus se fait volontiers l'écho du mal romantique (après Carla Bruni, Emma Bovary). Elle a une prédilection pour tout ce qui est tragique, désespéré, et aime pleurer en lisant les "purs sanglots" de Musset (ou pas).
Il est évident que C. aux yeux bleus ne connaîtra pas le bonheur — le vrai — tant qu'elle ne sera pas guérie de son mal. Mais la guérison ne sera pas une mince affaire. C. aux yeux bleus aura probablement besoin de l'aide d'une personne patiente et compréhensive ("tu veux pas consulter quelqu'un ?"). En tout cas, il lui faudra beaucoup de courage et surtout d'objectivité. C'est l'objectivité qui lui permettra de voir les choses dans leur vraie perspective et qui dissipera ses idées funestes. "Le malheur, comme le hibou, évite la lumière", disait Ch. Churchill. C'est aussi l'objectivité qui aidera C. aux yeux bleus à savoir compter ses points positifs, car "le tort commun des malheureux est de ne jamais vouloir croire à ce qui leur est favorable" (Sénèque).
C. aux yeux bleus a aussi intérêt à se rendre compte de l'absolue futilité des plaintes. Ses lamentations ne peuvent rien changer à sa situation sinon de l'isoler socialement et de la rendre plus malheureuse (bon, déjà, je ne me lamente pas, je vocifère, et ensuite, merde). Tout le monde évite ceux qui se plaignent. Le sens de l'humour, en outre, constitue incontestablement le meilleur remède qui soit à la disposition de C. aux yeux bleus. Comme disait Publilius Syrus, "le rire est une insulte au malheur".

-Moi et l'argent (parce que c'est important, l'argent, tout le monde en veut) :
Le confort matériel est vital pour vous, car sans lui vous perdriez tous vos moyens et verriez vos brillantes qualités intellectuelles réduites à néant (alors là il y a une relation causale que je ne m'explique pas, à l'aide). Heureusement, vous êtes en général prudente en matière financière (c'est vrai) et, de plus, vous avez un excellent sens des affaires.
Seriez-vous contente et heureuse pour autant ? On a bien peur que non, car vous avez tendance à mettre la barre très haut. Vous ne fixez aucune limite à votre besoin de confort et de sécurité matérielle : il vous faut toujours posséder plus (non), de sorte que vous vous sentez souvent insatisfaite et insécurisée (il est vrai que je pense de temps à autre que si l'immeuble venait à cramer, il ferait chaud et que je devrais sans doute me barrer par le toit, ce qui risque d'être fatiguant, mais c'est tout).
Si l'on vous demandait de vous comparer aux autres dans l'espoir de calmer vos angoisses, vous penseriez volontiers aux plus nantis et nullement aux SDF (sans domicile fixe) (merci pour la précision, les compétences de mes brillantes qualités intellectuelles s'arrêtent là où commence le domaine du sigle). Votre plus grande difficulté, pour résoudre vos problèmes d'argent, serait donc de ne pas avoir les yeux plus gros que le ventre, d'avoir une attitude assez détachée des biens matériels de ce monde (alors je ne l'aurai pas mon poney ?). Dites-vous que "savoir se contenter de ce que l'on a : c'est être riche" (Lao-Tseu).
Faites votre mea culpa : révisez tous les achats importants que vous avez effectués depuis trois ans (deux pantalons, trois strings, une Game Cube), et demandez-vous, sans complaisance, si certains d'entre eux n'étaient pas superflus ou vaguement indispensables.

-Mes qualités et mes défauts (j'en avais besoin pour remplir mon profil Meetic) :
-Qualité :
C. attache une très grande importance à l'amitié qui, pour elle, a le pouvoir magique de "doubler les joies et réduire de moitié les peines" (Bacon). Parfois elle préfère les amis qu'elle a choisis à sa propre parenté qui lui a été imposée par les liens du sang (oui ça y a pas de doute, enfin). Elle a beaucoup d'affection pour ses amis dont elle s'entoure (pas tout à fait) constamment ; elle est aussi capable de leur prodiguer dévouement et sacrifices.
C. aime beaucoup recevoir ses amis (surtout pas, je préfère squatter chez l'habitant : chez moi, c'est chez moi, on touche pas). Les gens viennent volontiers chez elle, car c'est un havre de repos et d'agréable compagnie (sûrement, donc mollo, faudrait pas qu'ils y prennent goût les salopiots). On ne risque pas de s'ennuyer avec elle, car c'est un remarquable boute-en-train (oui !). C. a aussi une façon exquise de vous mettre à l'aise (non). L'art de la conversation n'a pas de secrets pour Coralie (non plus). Elle sait faire parler les autres et les écouter avec attention et intérêt (ouais bof). Quant à la médisance, elle s'en méfie comme de la peste (surtout pas, j'adore commérer).
-Défaut :
C. ressent démesurément tout ce qui entrave son confort et son bien-être. A-t-elle manqué son train ou son avion ? Elle considère volontiers l'incident comme une catastrophe (bof, la dernière fois c'était surtout rageant parce que j'avais perdu mes clefs et que le double était dans l'appart fermé). A-t-elle échoué à un concours ? Elle sera convaincue que le cruel destin l'a choisie comme victime (je me mettrai surtout d'énormes baffes dans la gueule parce que ça sera ma pleine et entière faute ouais... et puis de toute manière, faudrait encore que j'aie le droit à l'échec). Pleut-il le jour de son mariage ? (Ca ne risque pas...) Elle croit facilement à un tour joué par sa mauvaise étoile... Ce genre de réactions amène parfois C. à se considérer comme la plus malheureuse et la plus déshéritée des humains (non). N'essayez pas de la raisonner si vous ne voulez pas perdre votre temps (vrai, quand je suis en pétard, keep out). Quoi que vous puissiez lui dire, elle vous répondra très probablement: "Je sais, mais...".
On devra reconnaître que, au fond d'elle-même, C. veut absolument que la vie lui réserve un traitement privilégié auquel elle croit avoir droit en venant au monde (non, premièrement tout se gagne, ensuite privilège mon cul). Si vous lui demandez de comparer son sort à celui des autres, elle ne vous écoutera pas. Son insatisfaction à l'égard de la vie est responsable du mécontentement dont elle est souvent victime.

-Etapes importantes de my life (comme ça je ne pourrai pas dire qu'on me m'aura pas prévenue) :
A moins qu'elle ne rencontre des situations exceptionnelles totalement imprévues, par exemple un accident de la circulation (wah l'évènement !), la vie de C. se déroule généralement avec la régularité et la tranquillité d'une rivière en rase campagne. Elle passe d'une étape à l'autre sans heurts et sans bouleversements (si, mais en vertu de la règle qui dit "une chose après l'autre", même les bouleversements ne sont pas trop mal gérés). Comment les choses pourraient-elles se passer différemment si son intérêt vital est d'avoir le confort et la paix ?
C. ne se sent bien dans son élément que si elle jouit de la quiétude ; le bonheur pour elle est de passer son existence à ronronner au coin du feu (non madame), à l'abri de tout bouleversement et de toute excitation. Une vie bien terne, direz-vous. Mais sachez que chacun a ses préférences, et que C. a les siennes (oui sans doute).

-Moi et le cul (je l'attendais) :
C., sans être méfiante à l'égard de ses pulsions sexuelles, a tendance à les observer et à les analyser. Elle est plus encline à vouloir comprendre ce qui se passe en elle qu'à se laisser aller à ses sensations, et cela peut refroidir ou refréner ses élans. Elle est pourtant dotée d'une forte sexualité souterraine (souterraine hein ?). Prise entre ses besoins assez puissants et son désir de garder le contrôle, elle a tendance à se méfier des autres et aussi d'elle-même. Mais pour peu qu'elle rencontre un partenaire qui sache la sécuriser et établir une complicité totale, elle oubliera ses craintes et pourra alors laisser s'exprimer librement ses fortes pulsions (MOAR).
C. recherche instinctivement le côté esthétique des choses (certainement). Rien ne la contrarie plus que la vulgarité ou l'obscénité (j'avoue). Pour peu qu'elle ait eu une éducation sexuelle erronée ou des expériences sexuelles inconvenantes, elle pourrait être amenée à considérer d'emblée la sexualité comme quelque chose de révoltant ou d'indigne (non, uniquement l'hétérosexualité, et encore, je me soigne), et montrer ainsi des tendances plus ou moins marquées à la frigidité (tiens, c'était donc ça ?).

-Affinités niveaux cul (j'ai pas pu résister... ceci dit, je serai raisonnable, je ne posterai pas ce que m'a sorti le nullitron à propos de certaines de mes relations passées, bien que ça soit marrant, des fois) :
L. (c'est la deuxième roue du tandem) pourrait mal s'entendre avec n'importe qui, mais pas avec C. Le charme de C. la désarme et la fascine (et c'est bien normal, qui peut y résister ?). C., de son côté, se sentira rassurée à côté d'une partenaire dont rien (à part un bon gros pétard) n'entame l'audace et l'esprit d'initiative. Nous avons affaire à des rapports de complémentarité qui comportent de bons atouts au départ mais qui en même temps ne sont pas exempts d'un certain nombre de risques.
On trouvera dans la combinaison C./L. des rapports sereins et gais. C. et L. se plairont et s'amuseront ensemble, parfois (souvent, car ce sont de vraies langues de putes quand elles s'y mettent) au détriment des autres. L'une aura de l'admiration pour l'autre. Elles pourront réaliser de grandes choses si elles savent bien conjuguer leurs qualités respectives. L. devra se défier de sa tendance à l'infidélité qui, sans contrôle, pourrait entamer une faille dans l'édifice (bof, on est trop p'tites pour la fidélité encore, alors hein). Elle devra aussi se mettre en garde contre la tentation de s'installer dans la routine car C., raffinée comme elle est, est exigeante en amour (sans doute, va savoir).

Voilà, hop, génial n'est-ce-pas ? Bon évidemment ça ne fera éventuellement marrer que ceux qui me connaissent (encore que, si ça se trouve en se tapant ces cinq années d'archives pourries on peut p'têtre avoir une vague idée du truc, je ne sais pas), mais au moins c'est fait, posté ici pour la postérité, je ferai lire à mes neveux.
Et je retourne à mes fiches, qui ne vont hélàs pas se faire toutes seules.
Lien. Rigolo.

Ecrit par kaleria, le Lundi 5 Avril 2010, 20:11 dans la rubrique "# Niouzes".

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Commentaires

Xahamm

07-04-10 à 21:25

Que puis je répondre moi pauvre mortel face à cet immondice de nullité astromachinchose (drôle quand même, voir très drôle) ?

Rien...Je suis abbatu par un néant...JFK a du ressentir la même chose avant de s'en manger une dans le crâne et JC a du lui aussi sentir les clous à l'avance...

D'ailleurs après ce post d'une importance capitale un grand bravo à CB (la troisième personne c'est toujours plus classe) !!

PS1 : La musique du lien est aussi formidable que l'image. Merci Ô grande fille aux doigts longs et fusellés !

PS2 : Où suis je ? : "Tu as demandé un miracle Théo. Je t'offre le FBI !! " (à peu près)


*Grince des dents*

kaleria

kaleria

09-04-10 à 01:49

Ouais enfin JFK c'est pas à proprement parler le néant qui l'a abattu.

Du coup je crois que j'attaque une phase de revival "je suis crade et je m'endors sur ton canap quand je suis bourrée, rien-à-foutre", rien qu'en réaction par rapport à ce tissu de conneries (y a peut-être aussi le fait que le test "Quel personnage de The L Word êtes-vous" m'a sorti Bette à 75%, et que j'avais beau m'en douter, c'est quand-même gravissime et il faut faire quelque chose). Oui, je me fais chier entre deux sessions de boulot qui me rase profondément (et c'est peu dire). Mais y a du bon niveau son là, ça va m'aider.

Je crois qu'il faut que je m'envoie en l'air aussi...


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