Silencio.
Ca faisait un petit moment que l'idée avait germé dans mon esprit dérangé.
Les idées, quand elles ne reviennent pas s'imposer, peuvent être oubliées : soit elle n'étaient pas bonnes, soit nous n'étions pas encore prêts à les faire advenir de manière satisfaisante (aussi reviendront-elles nous voir plus tard, dans de meilleures circonstances, ou peut-être jamais, si on est vraiment trop con).
Mais si elles se repointent régulièrement, et commencent à s'imposer avec de plus en plus de force, alors là... il faut y songer sérieusement, et on va pas rigoler tous les jours, ça non alors !
A force d'entendre les conneries proférées par mes semblables à longueur de journée, de m'apercevoir que j'en sors aussi quotidiennement un nombre pour le moins vertigineux, et de me dire que, parmis toutes ces élucubrations diverses et variées, plus personne n'est fichu de saisir les quelques paroles sensées ou (dans un autre registre) les rares éclairs de génie que mon optimisme me porte à considérer comme, sinon omniprésents, du moins existants... et blablabla (une démonstration par l'exemple, ça s'appelle)...
Enfin bref : y en marre, shit at the fin. Je vais fermer ma gueule et apprendre à écouter.
Et me limiter à la communication basique style "j'ai faim", "j'vais pas en allemand", "non au CPE" et "où sont les toilettes ?" (vous laisse imaginer les gestes qui vont avec).
Pendant une semaine.
Jusqu'à dimanche prochain, minuit.
(On peut aussi parier sur la première personne à entendre le son de ma voix à partir de ce moment là. Non, c'est pas anodin.)
Ca va être du sportisme.
Moi, j'vous le dis. (Ok, ok, je sors).
Les idées, quand elles ne reviennent pas s'imposer, peuvent être oubliées : soit elle n'étaient pas bonnes, soit nous n'étions pas encore prêts à les faire advenir de manière satisfaisante (aussi reviendront-elles nous voir plus tard, dans de meilleures circonstances, ou peut-être jamais, si on est vraiment trop con).
Mais si elles se repointent régulièrement, et commencent à s'imposer avec de plus en plus de force, alors là... il faut y songer sérieusement, et on va pas rigoler tous les jours, ça non alors !
A force d'entendre les conneries proférées par mes semblables à longueur de journée, de m'apercevoir que j'en sors aussi quotidiennement un nombre pour le moins vertigineux, et de me dire que, parmis toutes ces élucubrations diverses et variées, plus personne n'est fichu de saisir les quelques paroles sensées ou (dans un autre registre) les rares éclairs de génie que mon optimisme me porte à considérer comme, sinon omniprésents, du moins existants... et blablabla (une démonstration par l'exemple, ça s'appelle)...
Enfin bref : y en marre, shit at the fin. Je vais fermer ma gueule et apprendre à écouter.
Et me limiter à la communication basique style "j'ai faim", "j'vais pas en allemand", "non au CPE" et "où sont les toilettes ?" (vous laisse imaginer les gestes qui vont avec).
Pendant une semaine.
Jusqu'à dimanche prochain, minuit.
(On peut aussi parier sur la première personne à entendre le son de ma voix à partir de ce moment là. Non, c'est pas anodin.)
Ca va être du sportisme.
Moi, j'vous le dis. (Ok, ok, je sors).
Ecrit par kaleria, le Dimanche 2 Avril 2006, 15:29 dans la rubrique "# Niouzes".