Suite 3
--> La pause
Les couloirs du lycée s'emplissent peu à peu
Dans cette marée humaine où je n'ai pas ma place
Je donne le change et reste si sérieuse
Et j'attends que ça passe
Tout lasse
C'est la pause et le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
On crève de froid sur le parvis
Mais à l'intérieur la clope c'est... interdit
On refait le monde en rêvant de s'enfuir
Des groupes se forment et la cour se remplit
Miracle du tabac, cigarette rime avec amis
C'est la pause et le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
C'est la pause est le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
Dans cette marée humaine où je n'ai pas ma place
Je donne le change et reste si sérieuse
Et j'attends que ça passe
Tout lasse
C'est la pause et le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
On crève de froid sur le parvis
Mais à l'intérieur la clope c'est... interdit
On refait le monde en rêvant de s'enfuir
Des groupes se forment et la cour se remplit
Miracle du tabac, cigarette rime avec amis
C'est la pause et le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
C'est la pause est le monde s'enfuit
Tout est morose dans ce lycée gris
C'est la pause et on vit nos vies
On est bien peu de chose
On cherche un sens à notre existence
La clope, c'est mal... qu'on se la tienne pour dit !
Non, je ne raconterai jamais à personne comment j'ai crapoté mes quatre premiers paquets de Malback à l'aube de mes 18 printemps...
Je ne raconterai pas non plus pourquoi il ne fait pas bon fumer à la grille de son établissement public de prédilection lorsque l'on n'est pas muni ni de roulées, ni du porte feuille de la mort qui tue.
Je ne raconterai pas la clope du matin + la tasse de café, annonciatrices d'une haleine de chacal de longue tenue (agrément de la fille spirituelle de la mère Bignet, prof de maths notoirement connue pour bouffage de sardines de bon matin).
Je ne raconterai pas la connerie des arguments de ceux qui défendent cette sacro sainte thèse selon laquelle "tu devrais arrêter" : j'entretiens mon cancer, je fais partir mon faible pécule de glandeuse assumée en fumée, et c'est très bien, je vous remercie.
La raison principale de tout ceci étant, fort logiquement, qu'EN PLUS, je fais chier les pauvres non fumeurs saints dans leur tête et biens dans leur peau.
Pffff...
Ecrit par kaleria, le Jeudi 16 Février 2006, 11:47 dans la rubrique "# Niouzes".
Commentaires
Anonyme
02-03-06 à 10:36
<p>apres de longues et souvent infructueuses recherches sur google... (faute de mots cles apropriées, cet empaffé refusait totalement de me donner ce que je voulais) j'ai (enfin) retrouvé le chemin de ce blog de l'est totalement déjanté que je n'avais (seule excuse valable) vu qu'une seule fois il y a un petit bout de temps...</p><p>me voici donc en train de faire un petit coucou a kaleria (ainsi qu'a la fille aux cheveux rouges qui se penche tres certainement sur son epaule) : Coucou!<br />bon ca, c'est fait...</p><p>je félicite également l'artiste qui m'a bien fait rigoler tout au long des quelques articles que j'ai lu... et des quelques années de lycee passées dans cette prison desormais rose saumon (beurk). au fait t'as un probleme avec les maths sup???</p><p>c'est pas tout ca mais le travail c'est la santé, et ne rien faire, c'est la conserver... alors a plus</p>
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