Suite 2.
--> Sous un calme apparent
Et j'avance en silence
Tout est si désert
Une ambiance pesante
Drôle d'atmosphère
Un sentiment de déjà vu
Comme une ligne continue
Le temps semble suspendu
Et pourtant je sens
Que je me transforme
Sous un calme apparent
Tout en moi résonne
Et je me transforme
Sous un calme latent
Tout en moi frissonne
Une envie de grandeur
Et le sang qui bouillonne
Ca balaie mes peurs
Et tout en moi rayonne
Oui c'est ça je sens
Que je me transforme
Je le sens... que je me transforme
Tout est si désert
Une ambiance pesante
Drôle d'atmosphère
Un sentiment de déjà vu
Comme une ligne continue
Le temps semble suspendu
Et pourtant je sens
Que je me transforme
Sous un calme apparent
Tout en moi résonne
Et je me transforme
Sous un calme latent
Tout en moi frissonne
Une envie de grandeur
Et le sang qui bouillonne
Ca balaie mes peurs
Et tout en moi rayonne
Oui c'est ça je sens
Que je me transforme
Je le sens... que je me transforme
Ouais ça va, ça va, on a compris. Ca pue le cliché "adolescent en recherche de soi-même qui va faire des conneries", et blablabla...
Ce n'est donc pas intéressant le moins du monde. J'aurais dû vous le dire avant : il ne fallait pas lire.
...
Bon ça suffit, hein, les conneries !
...
Mais parlez bon sang !
...
Si, si, il est vrai que je commence à en avoir marre de me contenter de recopiller (jeu de mot pourri puisé au cul de mon book de calcul, quand j'étais petite -et encore jolie et gentille et parfumée-) bêtement des textes tout nullos et d'y coller trois commentaires pour pondre un post. C'est pas ça qui fondera ma réputation d'écriveuse renommée (j'hésite : la nouvelle Kaleria Higgins Clarqueuh, ou la fille spirituelle de Viktor Ugolov ?). Qui plus est, "je m'ennuiiiiiiiiie, i" !
Donc, aujourd'hui, on va faire dans le post apocalyptique (ajout du 11/05/2006 : wah l'aut'hé, j'avais pas capté le jeu de mot... dites le, que je suis magnifique sans le savoir).
Ca se passe dans un endroit que j'ai toujours connu tout vert : de l'herbe partout, des écureuils qui gambadent, grosso modo le locus amoenus des grecs anciens, sauf qu'il s'agit d'un stade de foot. Et de cours de tennis. Et d'une piste d'athlé. En fait, c'est un endroit pour faire du sport, mais ça n'empêche pas qu'il soit vert, na, d'abord !
Ce que je fous là dedans, j'en sais rien, mais ça a drôlement changé depuis mes tendres années : un endroit tout rouge, avec un sol rouge et un ciel rouge (le rouge puant des lettres, ici et là), dont on peut déterminer la présence uniquement grâce à un mur qui entoure la zone sur des centaines de mètres.
Les gens (parce que oui, il y a des gens), z'ont pas l'air très sympas non plus : des gueules d'évadés de prison, clones de Mike Tyson version en lambeaux. Et moi, et moi, et moi...
Je m'en évaderais bien aussi, de c't'endroit : examen de the wall, c'est haut (dans les 6 ou 7 mètres), métallique, et épais, me semble-t-il. Présence d'une sortie : deux portes battantes genre plomb massif d'un mètre de large sur 5 de haut, fermées, of course. Contente.
Juste au dessus de cette sortie, la fille en noir : elle regarde l'endroit d'un air hautain, elle en fait le tour, sans s'arrêter sur qui que ce soit. Les autres, elle s'en fout. Elle ne s'aime pas, elle n'est pas heureuse d'être là plutôt qu'ailleurs : elle pourrait aussi bien crever, mais elle a déjà tenté, et ça l'a fatigué. Une heure ou une année représentent pour elle la même durée : une éternité. Elle entend sans écouter, elle voit sans regarder, est-ce qu'elle pense quelquefois ? Ca ne se voit pas.
Ses yeux ne sont que des trous inexpressifs, elle vit sans exister.
...
Putain de rêve...
Ce n'est donc pas intéressant le moins du monde. J'aurais dû vous le dire avant : il ne fallait pas lire.
...
Bon ça suffit, hein, les conneries !
...
Mais parlez bon sang !
...
Si, si, il est vrai que je commence à en avoir marre de me contenter de recopiller (jeu de mot pourri puisé au cul de mon book de calcul, quand j'étais petite -et encore jolie et gentille et parfumée-) bêtement des textes tout nullos et d'y coller trois commentaires pour pondre un post. C'est pas ça qui fondera ma réputation d'écriveuse renommée (j'hésite : la nouvelle Kaleria Higgins Clarqueuh, ou la fille spirituelle de Viktor Ugolov ?). Qui plus est, "je m'ennuiiiiiiiiie, i" !
Donc, aujourd'hui, on va faire dans le post apocalyptique (ajout du 11/05/2006 : wah l'aut'hé, j'avais pas capté le jeu de mot... dites le, que je suis magnifique sans le savoir).
Ca se passe dans un endroit que j'ai toujours connu tout vert : de l'herbe partout, des écureuils qui gambadent, grosso modo le locus amoenus des grecs anciens, sauf qu'il s'agit d'un stade de foot. Et de cours de tennis. Et d'une piste d'athlé. En fait, c'est un endroit pour faire du sport, mais ça n'empêche pas qu'il soit vert, na, d'abord !
Ce que je fous là dedans, j'en sais rien, mais ça a drôlement changé depuis mes tendres années : un endroit tout rouge, avec un sol rouge et un ciel rouge (le rouge puant des lettres, ici et là), dont on peut déterminer la présence uniquement grâce à un mur qui entoure la zone sur des centaines de mètres.
Les gens (parce que oui, il y a des gens), z'ont pas l'air très sympas non plus : des gueules d'évadés de prison, clones de Mike Tyson version en lambeaux. Et moi, et moi, et moi...
Je m'en évaderais bien aussi, de c't'endroit : examen de the wall, c'est haut (dans les 6 ou 7 mètres), métallique, et épais, me semble-t-il. Présence d'une sortie : deux portes battantes genre plomb massif d'un mètre de large sur 5 de haut, fermées, of course. Contente.
Juste au dessus de cette sortie, la fille en noir : elle regarde l'endroit d'un air hautain, elle en fait le tour, sans s'arrêter sur qui que ce soit. Les autres, elle s'en fout. Elle ne s'aime pas, elle n'est pas heureuse d'être là plutôt qu'ailleurs : elle pourrait aussi bien crever, mais elle a déjà tenté, et ça l'a fatigué. Une heure ou une année représentent pour elle la même durée : une éternité. Elle entend sans écouter, elle voit sans regarder, est-ce qu'elle pense quelquefois ? Ca ne se voit pas.
Ses yeux ne sont que des trous inexpressifs, elle vit sans exister.
...
Putain de rêve...
Ecrit par kaleria, le Mercredi 15 Février 2006, 09:22 dans la rubrique "# Niouzes".
Commentaires
Anonyme
15-02-06 à 15:57
Pure dau(p)be
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Anonyme
15-02-06 à 17:46
"So you children of the world, listen to what I say
If you want a better place to live in spread the words today
Show the world that love is still alive you must be brave
Or you children of today are Children of the Grave."
Children of the Grave - Master of Reality 1971
Black Sabbath
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stupidchick
16-02-06 à 18:22
ahem
"ca pue le cliché adolescent en recherche de soi-même etc etc..."
C'est marrant de lire ça et de voir, mon Guieu, comme je suis décue, SAEZ dans la radioblog...
(à moins que tu ne te soies trompée, tu voulais le mettre dans l'autre radioblog...)
Saez qui pue le cliché adolescent, pour moi
M'enfin quoi merde
pas saez, pitié
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Re:
kaleria
17-02-06 à 10:37
A ce compte là, Louise Attaque et Indochine font aussi très clichés adolescents. Il n'empêche que je n'arrive pas à passer mes soirées à n'écouter que Joe Cocker, Prince et Bruce Springsteen.
C'est la vie.
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Re: Re:
stupidchick
18-02-06 à 16:00
non, non.
pas Indochine ni Louise Attaque.
Je sais pas. J'ai l'impression que Saez a trouve le bon creneau. Je trouve qu'il sonne faux, dans tous les sens du terme. mais bon. question de gout certainement
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kaleria
19-02-06 à 17:21
Opinion fondamentalement partagée.
L'erreur est humaine.
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