God save the gouines.

Je dis "vagues"

--> chapitre ouane

Ca faisait un bail, hein ? J'suis désolée, j'ai plus le temps...
Mais il s'en passe, des choses...
Capté sur le moment, pas relu pas corrigé pas modifié, ça donne ça :
(excusez d'avance, et sachez que je suis barrée dans ma tête et que j'assssssssuuuuuuuume !)

"la treizième plaie d'Egypte était le cellophane...
et le café se boit toujours noir

BORDEL

j'en ai plus
pars vite et reviens tard
voilà

chaque chose en son temps...

monsters in love (quand t'auras l'inté... graal)

je le pense, je l'ai dit, je l'écris : on aura le temps de rien.
des fois je me demande : ça va pas, qu'est c'que j'en sais, j'suis pas devin, j'peux pas deviner ce que contient la tête des gens, voire celle de qqn en particulier (sachant que j'en chie déjà pour savoir ce qui se passe dans la mienne). mais ça va pas, pourquoi ? pas de réponse, ça fait chier ? ouais à peine... just a little.
parce qu'il y a tout, et pourtant il manque un truc, mais alors pour savoir quoi, va te faire foutre, hein... et reviens pas stp parce que ça va m'énerver encore plus.
soit... putain je veux pas passer ma vie à courir après un truc qui n'existe pas, un truc que tu t'inventes dans ta tête et que je peux même pas ne serait-ce qu'imaginer parce qu'on n'EST PAS la même personne. clair.
j'suis fatiguée, genre, et je m'accorde le droit de me poser dans un coin et me faire oublier des emmerdes (les bonnes grosses qui tachent, pas celles de Brigitte ou Jean-Paul Casseburnes).
réfléchis deux secondes trente, où les secondes équivalent à des siècles, tu verras c'est vrai, creuser sa propre gueule ça occupe bien fort et bien longtemps si on n'y prend pas garde.
et si tu peux rien pour toi, moi j'peux rien pour toi non plus...
fous toi une balle NOW et laisse m'en une dans le barillet, j'ai pas eu les dents assez fluorées pour pouvoir racler le sol avec sans me les péter une par une (et putain j'aurai pas envie envie envie d'avoir envie d'y aller une fois de plus : j'ouvrirai les yeux sur un trou noir et poserai la main sur une saloperie de vide -celui là même dont la gosse avait déjà peur quand elle speedait sur du polyester pour avoir moins froid quand la vie s'éteint en même temps que la lumière de la veilleuse foireuse à l'image de... oh, j'viens d'où ? maman, t'étais où pendant ce temps ?-).
j'suis loin, très loin d'être infaillible, comme j'suis très très loin d'avoir tout compris et encore plus loin d'avoir compris à fond ne serait-ce qu'UNE petite chose dite basique. heureusement pour ma gueule, y a des trucs qui se comprennent pas, qui se contentent de s'admettre, de se ressentir et puis OK, c'est comme ça et on va pas se poser la question ; ou alors NNNNNN-N-O-N et faut vivre avec ça tout le temps, limite chiant. assumer c'est plus facile, plus honnête, plus cohérent. plus de chances de se rétamer, plus vulnérable, plus et encore plus.
voilà j'vais encore parler de moi parce que c'est ce que je sais le mieux : ça fait chier comme tournure mais relis et comprends un peu, je vais pas faire l'effort de récurrer les chiottes pour que tu t'y poses. aux gens, je leur demande rien : du bien du mal du rien du râle, des crachats glaireux ou un diabolo citron, 100 balles sous ma peau ou un mars dans mon museau, I don't give a fuck anyway way way way (rock the biyatch). mais les Gens, avec un grand G que pour une fois j'y met aucune connotation facile, alors là ouais, je leur demande un Truc, un putain de Truc. je leur demande tout, toute la saloperie d'amour qu'ils peuvent donner, je leur demande ça, tout, et en échange, pareil, je leur donne tout, y a qu'à demander avec les yeux, et tout c'est là, tout sous ton nez, tout dans ta tête, tout dans ton âme si tu me laisse y accèder.
sinon rien...
je me tais.
toi avant moi, c'est ça qui va pas...

soit c'est high soit c'est down... ben c'est peut-être pas plus mal.
à voir avec Boudha.

HIGH !"

C'est tout pour cette fois... je vous rassure, je vais bien, mon hamster bleu aussi.

Bonnes nuits.

Ecrit par kaleria, le Lundi 29 Août 2005, 01:20 dans la rubrique "# Niouzes".

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