J'ai pas de bol, j'ai plus de riz, je suis une ratée...
--> à Leader Price, ils vendent du lait périmé, c'est une vie de merde, je voudrais bien une paire de Nike, j'ai plus de café, y a des missiles dans l'univers, j'ai plus une thune, et y a rien à la télé.
C'est clair, j'ai une fièvre posteuse là en c'moment. C'est parce qu'il se passe plein de choses, ou plein pas de choses dans ma vie en fait. Dans celle des autres par contre, c'est clairement Bagdad, mais disons que ça leur va. Tout est bien, donc.
Je surfe gaiement sur la bienfaisante vague du DM de grec terminé et du son qui claque que ça me parle bien (d'où ajouts au Sexy Sushi 'ophone : Je t'obéis, Princesse voiture - terrible, à passer quand je ferai le tour de ma belle ville de B. toutes fenêtres ouvertes dans ma future bagnole quand je l'aurai, et aussi quand j'aurai le permis, c'est-à-dire pas tout de suite, mais un jour quand-même -, Infernal - énorme aussi, tellement vrai -, Joli caveau - qu'on pourrait dédicacer à 95% de la population locale -, Petit PD et L'idole des connes - la plus conne c'est encore Carla Bruni -). Ce bruit, c'est trop le bien.
And I feel the power from la force ancestrale que Damien-Jean m'envoie depuis son artificerie personnelle. Je prendrais bien une photo de mon cul pour illustrer cet article, mais manchotte comme je suis j'arriverai jamais à la cadrer. Je vais donc, à la place, vous offrir un magnifique extrait de conversation MSN d'il y a à peine cinq minutes, alors que je mettais la dernière main à cette putain de saloperie de sujet de grec :
-Gens : je fais caca.
-Moi : je t'en prie.
-M. : rassure-moi t'as pas pris le portable aux chiottes...
-G. : non mais là en ce moment.
-G. : vive les portables.
-M. : ...
-M. : ah, si.
-G. : merde ça rappelle.
-G. : ben tant pis.
-M. : oh bordel, post sur le blog là, directum.
-G. : il va croire que je ne l'aime plus.
-M. : moralité, il y a un temps pour tout, même pour faire caca (phrase à la con numéro 54).
-G. : non mais on m'avait jamais fait le coup, c'est assez drôle !
-M. : de t'appeler sur le trône ?
-G. : non, de m'appeler pour ne rien me dire.
"Et ben on n'est pas sortis", que je me suis dit.
(Edit : tiens c'est marrant j'ai un lien qui foire, le premier article publié en Mars 2006... naze, mais le post est toujours là, alors ça va.)
(Edit bis : putain, il est 5 heures du mat, et c'est dingue comme je n'arrive pas à dormir quand y a personne dans mon lit. J'ignore si c'est parce que j'suis juste pas fatiguée - alors que je me suis levée à 11 heures et que j'ai taffé all day long ça me paraît nettement improbable -, si c'est parce que je ne me suis pas pris mon double coup de doigts moutarde supplément frites - moyennement pertinent également -, ou si c'est simplement pour une obscure autre raison à laquelle je ne tiens pas à réfléchir plus que ça et encore moins à tenter de coller une étiquette, mais BORDEL, qu'est-ce que c'est CHIANT. C'est là, oui, ici là, que j'aimerais avoir des amis nocturnes. Ou n'avoir aucun remord à picoler toute seule, au moins quand je suis rabatte raide complètement pétée foutue beurrée ivre saoûle perdue ronde noire grise éméchée chargée déchirée défoncée crucifiée cuitée murgée caisse dépouillée arrachée biturée ET BEN JE PIONCE, et direct. Grumph. Vivement qu'elle revienne.)
Ecrit par kaleria, le Samedi 10 Avril 2010, 01:33 dans la rubrique "# Niouzes".