Le best of s'enrichit.
En effet, j'ai la chance d'avoir à mes côtés de merveilleux êtres qui me font régulièrement parvenir leurs plus belles perles du net.
C'est ainsi que, tout à l'heure, quelqu'un m'a envoyé ceci. D'ores et déjà légendaire (les commentaires sont pas mal non plus, pour certains), me confortant dans mes convictions : oui, il y a des gens qui ont de l'humour, oui, il y a des gens assez pitoyables pour servir de victimes à un détournement du genre, oui, je suis une fille très bien and I'm not alone (en fait si, là tout de suite et si je prend la peine de le dire c'est parce que c'est atrocement gênant, hein, dis-donc, mais bon, dans l'idée).
Ne boudant pas mon plaisir, j'ai cherché à me renseigner d'avantage au sujet de l'héroïne de ce gentil clip, je suis donc tombée sur cette page : que du bonheur.
On peut laisser tourner les vidéos sans les regarder, histoire de simplement entendre ces merveilles en fond sonore pendant qu'on fait la vaisselle, mais je conseille tout de même un visionnage attentif.
Si vous ne savez pas par où commencer, je vous donne, à titre indicatif, ma toute préférée. Faut se méfier quand on vit en ostracisme, c'est dur.
Hors-sujet : les jours rallongent, fraîchissent, et ça ne va pas du tout, ah non alors. Avant d'avoir eu le temps de bien digérer l'information, je serai contrainte de partir en cours/chasse dans la nuit et le froid. Je n'oserai plus sortir de chez moi par peur de geler sur place façon T1000 sous douche d'azote liquide. Il me faudra faire tourner nuit et jour le chauffage du BAS afin de maintenir une température de trente-deux degrés correcte en HAUT (parce qu'évidemment y a pas de radiateur dans la mezzanine), je ne devrai surtout pas envisager d'aérer deux secondes, et dès qu'il flottera ça en profitera aussi pour goutter dans le salon (véridique).
Les petites faucheuses d'été seront remplacées par d'énormes araignées velues qui ramperont partout, especially dans mon bec grand ouvert quand je dormirai (je ne sais plus où j'ai lu qu'on avale en moyenne, dans toute une vie, sept araignées pendant son sommeil, eûrk).
Et je n'aurai AUCUNE présence féminine réconfortante à mes côtés -normalement c'est ici qu'on me plaint à court bouillon, comme dirait Vaness'-.
Entre deux sessions Street Style, je m'écoute ça. Ce qui me plonge (allez savoir pourquoi) dans une profonde et gluante mélancolie.
Comme je suis sado-maso, j'en rajoute plusieurs couches : here, ici et là. Même quand je me tourne vers le wackénwoll, ce petit con appuie là où ça fait mal. La vie est vraiment dégueulasse.
Ecrit par kaleria, le Samedi 5 Septembre 2009, 06:27 dans la rubrique "# Niouzes".